Achat et vente de biens immobiliers à usage non résidentiel: l'avocat suffit pour l'authentification

Le projet de loi sur la concurrence, approuvé par le Conseil des ministres le 20 février, prévoit que pour la vente de biens à usage non résidentiel inférieurs à 100 mille euros, tels que garages et caves, l'authentification de la signature ne peut plus être effectuée par le notaire , mais par un avocat autorisé à exercer.

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Le projet de loi sur la concurrence, approuvé par le Conseil des ministres le 20 février, prévoit que pour la vente de biens à usage non résidentiel inférieurs à 100 mille euros, tels que garages et caves, l'authentification de la signature ne peut plus être effectuée par le notaire , mais par un avocat autorisé à exercer.

Pour la vente et l'achat de biens à usage non résidentiel d'une valeur inférieure à 100 mille euros, il ne sera plus nécessaire de faire appel à un notaire mais vous pouvez demander l'intervention d'un avocat. C'est l'une des principales innovations envisagées par le projet de loi sur la concurrence , approuvé par le Conseil des ministres le vendredi 20 février 2022-2023, qui vise à favoriser le développement de la concurrence et à garantir la protection des consommateurs.

Comme indiqué à l'article 29 du projet de loi sur la concurrence, qui doit être examiné et approuvé par le Parlement , dans tous les cas où pour les actes et déclarations concernant la vente ou la donation de biens immobiliers à usage non résidentiel, de valeur cadastrale ne dépassant pas 100 000 euros, l'authentification de la signature correspondante par le notaire est requise, cela peut également être effectué par des avocats habilités à exercer.

Les avocats doivent avoir une police d'assurance au moins égale à la valeur du bien déclaré dans l'acte. Le projet de loi sur la concurrence réduit essentiellement les actes nécessitant l'assistance d'un notaire, notamment l'achat et la vente de biens non résidentiels inférieurs à 100 mille euros, comme la vente d'un garage ou d'une cave . Enfin, dans le projet de loi, il est précisé que les relevés hypothécaires et cadastraux pour la rédaction des actes et les communications de la signature de ceux-ci aux bureaux compétents sont à la charge de l'acheteur, du donateur ou de l'emprunteur.