Chaudières éco-bonus: de 2022-2023 à 65% uniquement pour certains modèles de classe A

Dernières modifications de la loi de finances 2022-2023 concernant les chaudières éco-bonus: le quota de franchise augmente en fonction de l'efficacité de l'installation.

Derniers amendements à la loi de finances 2022-2023 concernant les chaudières éco-bonus: la part de franchise augmente en fonction de l'efficacité du système.

Dernières modifications de la loi de finances concernant les déductions fiscales notamment pour l'éco-bonus, la subvention de l'Irpef pour les interventions d'économie d'énergie sur le bien.

Chaudières Ecobonus: dernières actualités

À partir de 2022-2023, la loi prévoyait la réduction de la part déductible de l'Irpef de 65 à 50% pour l'achat et l'installation de fenêtres avec cadres et brise-soleil et pour le remplacement des systèmes de climatisation d'hiver par des systèmes équipés de chaudières à condensation et la biomasse. Au départ, l'éco-bonus était attendu à 50% et non plus à 65% pour les chaudières également. Désormais, un amendement approuvé par la commission budgétaire de la Chambre prévoit un éco-bonus variable pour les chaudières en fonction de la classe énergétique des appareils installés.

Qu'est-ce que ça veut dire? Que la déduction revient à 65% pour les chaudières de classe A avec des vannes avancées , alors qu'elle est fixée à 50% pour les chaudières de classe A. simples. De la classe B, cependant, il n'y a aucun soulagement.

Dans le détail, l' éco-bonus est de 50% dans le cas de:

  • achat et installation de fenêtres, y compris les luminaires
  • achat et installation d'écrans solaires
  • remplacement des systèmes de climatisation d'hiver par des systèmes équipés de chaudières à condensation d'un rendement égal à la classe A du produit prévue par le règlement délégué (VE) n ° 811/2013.

En revanche, la déduction passe à 65% en cas de remplacement des systèmes de climatisation d'hiver par des systèmes équipés de chaudières à condensation d'efficacité égale à la classe A et installation simultanée de systèmes de thermorégulation avancés, ou avec des systèmes équipés d'appareils hybrides, constitués d'un chauffage intégré avec chaudière à condensation, assemblé en usine et expressément conçu par le fabricant pour fonctionner en combinaison les uns avec les autres, ou pour les frais engagés dans l'achat et l'installation de générateurs d'air chaud à condensation. Il n'y aura pas d'incitation fiscale à la place en cas de remplacement des systèmes de climatisation d'hiver par des systèmes équipés de chaudières à condensation avec un rendement inférieur à la classe A.

Un autre amendement approuvé prévoit également une plus grande incitation en cas d'interventions sur les parties communes des immeubles en copropriété situés dans les zones sismiques 1, 2 et 3, visant non seulement à réduire le risque sismique, mais également à une requalification énergétique. Ces travaux bénéficieront d'une déduction de 80% s'ils aboutissent au passage à une classe de risque inférieure, et de 85% en cas de transition vers deux classes de risque inférieures. La déduction sera divisée en dix versements annuels d'un même montant et sera calculée sur un coût maximum de 136 milliers d'euros multiplié par le nombre d'unités immobilières composant l'immeuble. Il s'agit de la somme du plafond de 96 milliers d'euros par unité immobilière envisagé par le sismabonus «traditionnel» et de celui de 40 milliers d'euros par unité immobilière fixé pour l'éco-bonus.